Quand votre cerveau entend, "Blah Blah Blah"

Lorsque vous lisez ou écoutez des faits, ou regardez une présentation PowerPoint, les parties de traitement du langage de votre cerveau sont activées. Votre cerveau décode automatiquement les mots et leurs sens. Ce n'est que ça. Il ne se passe pas grand-chose d'autre.

Une étude récente Universitaire a identifié le processus automatique par lequel passe notre cerveau lorsqu'il capte le langage parlé.

Écouter une histoire

Cependant, lorsque vous entendez une histoire, en plus des zones de traitement du langage, des parties qui reçoivent et traitent des informations sensorielles comme la vue, le toucher, le goût, l'odorat et l'ouïe, et des parties qui activent les mouvements moteurs et les émotions, sont également déclenchées.

En d'autres termes, notre cerveau est stimulé par des histoires d'une manière similaire à la stimulation par l'expérience.

Par exemple, si nous entendons une histoire sur un dîner somptueux, la partie de notre cerveau qui traite le goût commence à « goûter » la nourriture. Lorsque nous entendons comment quelqu'un s'échappe des lézards géants carnivores, notre cortex moteur devient actif ; nous « expérimentons » l'acte de courir.

Selon l'histoire, plusieurs régions de notre cerveau travaillent ensemble pour créer des images riches et des réponses émotionnelles. Une histoire peut éclairer tout notre cerveau.

Et nous synchronisons seniors

De plus, le cerveau du conteur et de l'auditeur peut se synchroniser, une explication neuroscientifique.

Dans une expérience menée, un senior dû raconter une histoire alors qu'il était dans un scanner IRM, qui a détecté son activité cérébrale en surveillant le flux sanguin vers son cerveau. Lorsque le sang afflue vers certaines zones du cerveau, elles s'illuminent sur un écran d'ordinateur, montrant leur engagement.

Pendant ce temps, un groupe de volontaires a écouté les histoires avec des écouteurs, tandis que leur cerveau était également scanné.

Lorsque le senior a parlé, le cerveau des volontaires s'est synchronisé avec le sien. Quand il avait une activité dans sa région cérébrale émotionnelle, les auditeurs aussi. Lorsque son cortex frontal s'est illuminé, le leur aussi. On a découvert que plus les auditeurs comprenaient l'histoire, plus leur activité cérébrale reflétait celle du conteur.

Pourquoi le lien social est-il important seniors?

Après 60 ans, à moins que nous ne nous efforcions d'entretenir des relations ou de faire de nouvelles connaissances, nous pourrions devenir plus isolés. En partageant des histoires, que ce soit avec de vieux amis ou de nouveaux, nous formons des liens.

Nous créons une compréhension partagée et une intimité accrue. Partager des histoires déclenche des substances chimiques cérébrales pour le lien social. On gagne en confiance. Nous formons des communautés.

Un article a déclaré : « Chaque fois que vous racontez votre histoire et que quelqu'un d'autre en témoigne, vous désactivez les réponses du corps au stress, en désactivant les hormones de stress toxiques comme le cortisol et en vous relaxant des réponses qui libèrent des hormones de guérison comme l'ocytocine, la dopamine et les endorphines.

Cet article ajoute que « cela active les mécanismes d'autoréparation innés du corps et fonctionne comme une médecine préventive ou un traitement si vous êtes malade ».

La médecine croit également qu'écouter des histoires détend votre système nerveux et aide à guérir votre esprit de la dépression, de l'anxiété, de la peur, de la colère et des sentiments de déconnexion.

Mais il y a plus seniors

Une étude Universitaire, "Les effets de la narration sur le bonheur et la résilience chez les seniors", a conclu que trouver un sens et maintenir un but peut être vital pour bien vieillir.

L'étude a suggéré que raconter des histoires sur nos vies nous aide à trouver des moments de plénitude de notre passé. Nous pouvons utiliser ces états de grâce pour donner du sens à notre présent, qui à son tour, peut créer un avenir plus positif.

Lorsque nous apprenons à trouver un sens à nos histoires de vie, nous développons une perspective sur le vieillissement. Nous nous considérons comme ayant progressé vers une sagesse mature. Cela apporte une augmentation de la confiance et du bien-être.

Fondamentalement, partager des histoires est amusant et bon pour notre cerveau.

À quelle fréquence partagez-vous des histoires? Avec qui partagez-vous vos histoires seniors? Avez-vous remarqué un lien avec vos auditeurs? Parlez-nous de votre expérience dans les commentaires ci-dessous.

Traduction 3age-seniors d’un texte de l’auteur MAHANI ZUBÉDY