Ce sont toutes de bonnes choses, mais pas vraiment merveilleuses.

La chose vraiment merveilleuse

Non, je parle de ma relation avec mes enfants,mes 4 petits enfants et de nos relations. J'habite à Brest, près de l'océan un endroit ou il ne pleut que sur les cons donc je suis Breton.

Ma fille aînée, Anna, vit à Rio de Janeiro, au Brésil, où elle a obtenu un doctorat. Mon fils vit au Cap, en Afrique du Sud, après qu'il obtienne un BTS spécialisé.

Ma meilleures amie, surnommée Sani, un bon ami de mes enfants, qui est devenue très proche de moi, travaille à New York. Trois enfants (pour ainsi dire), et ils sont répartis dans le monde à peu près aussi loin de moi et l'un de l'autre que possible.

Mais je suis en contact avec eux, et tout le temps entre eux, grâce à une application que nous avons tous les trois sur nos téléphones. Cela s'appelle WhatsApp , et cela nous permet de nous appeler sans frais, tant que nous avons la Wi-fi.

Plus important encore, cela nous permet d’envoyer des photos et des messages. Et pour participer à des conversations individuelles et en groupe. Le plus, incroyablement, c'est gratuit.

Les avantages de WhatsApp

Pourquoi est-ce si génial? Pourquoi est-ce que je ne parle pas au téléphone avec ces enfants et petits enfants que j'aime tant?

Pas besoin d'appeler tous les jours

La réponse est que, même si je les aime tous, je ne suis pas une senior accro au téléphone. Et ce défaut de personnalité, si vous voulez l'appeler ainsi, n'exempte même pas mes propres enfants et petits enfants.

Les appels sont peu pratiques. Les appels interrompent tout ce que vous faites. Les appels peuvent être perturbés par des événements en arrière-plan. Les appels nécessitent une conversation avec suffisamment de nouvelles et de discussions pour que tout cela en vaille la peine.

La plupart du temps, je déteste communiquer de cette façon. Je déteste l'idée d'imposer à mes proches le «devoir» de s'asseoir et de téléphoner avec moi selon un horaire quelconque.

Envoyer des SMS est pratique

Ne vous méprenez pas, nous parlons parfois par téléphone. Mais jour après jour, non. Nous textons:

Moi à Anna: Assis dans le lave-auto en train de penser à vous dans votre siège auto. Je peux encore vous voir crier et pleurer, vos yeux se révulsant dans votre tête. Je me sens toujours aussi terrible que cela vous a fait peur.

Anna à moi: j'apprécie le lavage de voiture maintenant! Est ce que ça aide?

Moi: Non, je m'accroche à ma culpabilité comme un animal en peluche préféré. Tu ne peux pas me l'enlever. C'est à moi.

Anna: Bien oui, bien sûr.

Et tout cela pendant que les jets d’eau vaporisent de la mousse sur ma voiture et que les larges bandes de feutre se mélangent. Un vieux souvenir que nous partageons tous les deux. Elle est proche de moi un instant.

Ou Gégé (à nous trois, une légende sous plusieurs photos de girafes, éléphants et gemsboks debout dans un paysage enneigé): Surréaliste.

Sani: Où sont ces animaux?

Gégé: À Graaff-Reinet, au centre du pays.

Anna: C'est juste fou. Peuvent-ils survivre?

Gégé: Je ne sais pas.

Il maintient la connexion vivante

Et pendant un moment, nous partageons collectivement la consternation, nous inquiétant pour les animaux, en contemplant la dévastation inexorable du changement climatique.

Vous voyez, nous sommes dans la vie de chacun, nos vies réelles et quotidiennes. Nous sommes disponibles pour un moment de colère, d'ennui, de frustration, de tristesse et d'humour.

Comme avec un ami dans sa combinaison de travail. Comme un colocataire qui est à la maison quand vous rentrez chez vous et qui sort le vin en discutant avec des collègues ou en partageant quelque chose d'embarrassant et idiot qui a été dit au comptoir de charcuterie.

Cela ne prend qu'un moment. Vous pouvez lire lorsque vous êtes disponible, comme après avoir fini le courrier électronique que vous écriviez. Vous pouvez envoyer dès que quelque chose se produit, pas plus tard, lorsque vous avez rassemblé toutes les "informations" à transmettre par téléphone, à partir desquelles ce moment serait perdu et inutile à mentionner.

Groupes de discussion

L'autre avantage fantastique est que j'ai persuadé mon mari d'utiliser également WhatsApp. Nous avons créé un groupe de discussion appelé «Groupe Famille» qui nous inclut tous. Il a la chance d'assister aux rires quotidiens des petits enfants et à leurs récriminations, de participer à la consolation ou à la gronderie.

Ces interactions seraient rares si les appels téléphoniques étaient le seul mode de communication. Mon mari est en fait plus téléphone que moi, mais le manque de temps et honnêtement le faite que c'est moi qui communique. Je le tiens également informé des nouvelles, cela fait de sa part des appels téléphoniques peu fréquents.

Cela me réconforte

La famille me manque tellement. Je pense que je suis constamment dans le deuil de les avoir si loin. Mais je suis extrêmement réconforté quand je reçois

• une photo des nuages ​​déferlant de la montagne avec mon fils du Cap;

• une courte vidéo du petit chien de ma fille qui saute sur les genoux de mes petits enfants;

• des photos de Rio avec les petits enfants déguisés pour le carnaval

• une petite vidéo de mon fils, d'animaux en liberté en provenance des réserves d’Afrique du sud avec les petits enfants tous proche des animaux.

Et quand mon mari ajoute ses plaisanteries ou ses commentaires comiques sous certaines «vidéo de chien stupide», je jure que j'ai presque envie de pleurer. Malgré les distances, nous restons en contact et faisons partie de leur vie comme ils font partis de la notre. Je vais dire que ça réchauffe le coeur.

Quel est votre moyen de communication préféré avec vos enfants et petits enfants? Comment restez-vous en contact s'ils habitent loin? Vous êtes-vous efforcé de suivre la technologie que les jeunes de votre vie préfèrent utiliser? Merci d'utiliser les commentaires ci-dessous pour partager votre gestion des communications lointaines avec votre famille ou vos amis.

Traduction 3age-seniors d'un texte de l'auteur ANN VOORHEES BAKER